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Critique de mollymonade
Une place à table raconte la métamorphose d'un jeune hassid qui s'éloigne de sa tribu pour trouver sa vérité.
Rien de bien original mais à lire ce roman on pourrait presque croire que les juifs ultra-orthodoxes vivent à peu près normalement, mis à part leurs obligations vestimentaires et alimentaires. On ne sent que très peu qu'il s'agit d'une communauté renfermée sur elle-même pour préserver un mode de pensée et de vie différent de celui du monde moderne.
Ce que l'auteur met ici en valeur, c'est le côté élitiste du hassidisme en soulignant la profondeur et la beauté de sa pensée. Cependant, les petits contes qui illustrent son propos en trahissent les origines populaires.
J'ai été frappée par l'absence quasi totale de présence féminine dans ce récit. Les femmes n'y ont que de vagues seconds rôles de mère ou de tante tout à fait insignifiantes. La seule à avoir un vrai rôle n'est pas juive et détourne un hassid du droit chemin...
Rien de bien original mais à lire ce roman on pourrait presque croire que les juifs ultra-orthodoxes vivent à peu près normalement, mis à part leurs obligations vestimentaires et alimentaires. On ne sent que très peu qu'il s'agit d'une communauté renfermée sur elle-même pour préserver un mode de pensée et de vie différent de celui du monde moderne.
Ce que l'auteur met ici en valeur, c'est le côté élitiste du hassidisme en soulignant la profondeur et la beauté de sa pensée. Cependant, les petits contes qui illustrent son propos en trahissent les origines populaires.
J'ai été frappée par l'absence quasi totale de présence féminine dans ce récit. Les femmes n'y ont que de vagues seconds rôles de mère ou de tante tout à fait insignifiantes. La seule à avoir un vrai rôle n'est pas juive et détourne un hassid du droit chemin...
