Je ne sais pas si beaucoup de personnes ont lu ce recueil de
Georges Haldas publié à Lausanne en 1968. L'exemplaire qui m'a été offert vient d'une bouquinerie et ses pages n'avaient même pas été coupées !...
Georges Haldas place ces poèmes sous le patronage de
Jean-Jacques Rousseau avec la citation : "Des feux errants qui me guidaient pour me perdre." Me perdre, c'est un peu l'impression que j'ai eue en lisant ce recueil. Les poèmes sont plutôt courts et assez hétéroclites, assez souvent sans titre, et il est difficile d'y trouver un fil conducteur. La tonalité de ces poèmes est marquée d'une certaine désespérance, même si j'y ai trouvé quelques pépites plus lumineuses.
Commenter  J’apprécie         61