Ce livre s'annonçait comme un somptueux repas dans un restaurant 3*
Et comme dans un grand restaurant le plat de trop, la faute de service et le repas est terni.
Pour
City on Fire , c'est le trop plein qui nous emmène au bord de la nausée et nous empêche même de prendre le dessert et le café.
Pourtant le menu était sublime et les mises en bouche originales mais trop c'est trop et les retours incessants entre le salé et le sucré sont finalement lassants.
Un grand repas n'est pas seulement un foisonnement de grands plats mais comme un grand vin il doit être structuré, rond, onctueux, long en bouche ..........
Pourtant ce jeune cuisinier écrivain est prometteur et on doit lui laisser le temps de l'apprentissage.
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