Un album qui cumule les bons points !
Le graphisme d'abord :
Jon Klassen est un excellent choix. C'est simple, moderne, les couleurs jouent parfaitement du noir et de la lumière.
L'histoire ensuite. Laszlo a peur du noir : classique. Mais ce qui l'est moins c'est le traitement de cette peur. L'enfant sait que le noir existe, où il se cache, travaille à vaincre sa peur, qu'il rationalise. C'est ça une des forces de l'album : la raison. On ne cherche pas à minimiser ou cacher quoi que ce soit. le noir existe, oui ça fait peur, mais le noir n'a pas que des points négatifs.
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