L'ouvrage est universitaire avec ses qualités d'exhaustivité et d'exactitudes mais aussi avec ses défauts: dénigrement systématique des études précédentes sur le sujet, schémas, graphiques ou dessins peu compréhensibles, informations crues et parfois répétées. Sans sombrer dans le roman, un peu de liant ou des fenêtres de réflexion auraient pu être proposées au lecteur. Ceci étant, l'ouvrage est sans doute une référence pour ceux que la question intéresse. A noter que les faits évoqués quant à l'habitat, mode de vie et aux croyances se référent à 1960 et l'auteur le dit lui-même, depuis cette date, la loi et l'armée équatoriennes ont réduit énormément la liberté d'être des Jivaros.
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