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Critique de sandraboop


Lilly, sujette à des terreurs nocturnes liées au souvenir de son atroce agression, finit par se laisser convaincre par Jack (qu'elle a frappé dans son sommeil) de rejoindre un groupe de soutien pour victimes.
Ah que c'est beau ce qu'on arrive à faire par amour, à se dépasser, à briser les barrières qu'on a soi-même érigé autour de soi.

Mais voilà que la thérapeute,Tamsin, est victime de harcèlement. C'est son second déménagement, mais le harceleur la retrouve toujours.

La tentative de Lilly pour guérir ses maux va alors avorter puisque le premier lieu de crime est celui où se retrouvent les membres du groupe de parole.

De fil en aiguille et comme à chaque fois, Lilly se retrouve mêler à ces histoires criminelles.

Ce tome, je l'ai moins aimé que les autres, peut être parce que Lilly devient plus "humaine", moins "forte" et que c'est l'amour qui la guérit (ou l'affaiblit selon l'interprétation qu'on en fait et d'ailleurs elle s'en fait la réflexion elle-même).

Elle vit ici une autre épreuve terrible mais elle y survit assez facilement (trop peut être mais après ce qu'elle a déjà vécu, pouvait il en être autrement).

La question qui reste en suspens est : peut on s'aimer au point de se haïr, voire d'aimer se haïr ?

La conclusion est plutôt que chacun peut trouver un partenaire qui corresponde à sa propre névrose (minime ou non) et que si les gens sont destinés à se rencontrer alors ils se trouvent.

C'est toujours une lecture détente pour moi.
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