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Critique de Aela


Donald a 45 ans. Touché par une forme de sclérose particulièrement invalidante, il sait sa fin proche. Il dicte alors son roman familial à son épouse Cynthia. Descendant d'Indiens chippewas et de colons finlandais, il tient à ce que ses enfants comprennent combien sont profondes les racines invisibles qui les lient à cette terre. L'écriture m'a semblé dense, touffue, on se perd un peu dans ce foisonnement d'images et de personnages, c'est comme une plainte où se mêlent la sensibilité et la mort.
Quelques extraits:
" Sur la Troisième Rue près d'un grand magasin IGA, j'ai vu un homme très blanc et sa femme tout aussi blanche, et je me suis demandé si ce type se doutait de ce que son peuple avait fait subir au mien au cours des derniers siècles.[...]"
"Un politicien local, qui refusait que l'enseignement des langues étrangères soit inscrit dans le budget d'une école, a déclaré:
"Si l'anglais a suffi à Jésus-Christ, il devrait suffire à nos gosses."
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