>
Critique de Esorlecram
Une satire de la téléréalité: voilà qui aurait dû me plaire. D'autant plus que le résumé laissait présager une histoire amusante: une star de la téléréalité , au Q.I. proche du zéro absolu, est "invité" à écrire sa biographie, qui devient vite un best seller. Bien sûr c'est un nègre qui l'a écrite pour lui. Le hic, c'est que ce nègre écrit divinement bien au point de troubler les critiques les plus exigeants!
Et cela a donné quoi? : la pire "cornichonnerie" que j'ai jamais lue depuis mon premier bouquin (Babar, et ce n'était pas hier la veille!)
Attention: je ne prétends pas que ce roman n'a ni queue ni tête, car de la queue, il y en a quasi à chaque page, sans humour, sans érotisme, et ce n'est même pas porno!
En cherchant un peu, je trouverai bien un point positif: le personnage de Harriet, caricature de l'intellectuelle coincée, qui écrit des livres abscons qu'aucun éditeur n'accepte. Et Harriet tombe amoureuse devinez de qui (ou de quoi): non, pas de notre star, ce serait trop banal, mais de son sexe qui lui a permis de connaître enfin l'orgasme!
J'abandonne rarement en cours de lecture: je me suis donc tapé tout çà jusqu'à la fin (encore plus loufoque que le reste): serais-je devenu maso?
Et cela a donné quoi? : la pire "cornichonnerie" que j'ai jamais lue depuis mon premier bouquin (Babar, et ce n'était pas hier la veille!)
Attention: je ne prétends pas que ce roman n'a ni queue ni tête, car de la queue, il y en a quasi à chaque page, sans humour, sans érotisme, et ce n'est même pas porno!
En cherchant un peu, je trouverai bien un point positif: le personnage de Harriet, caricature de l'intellectuelle coincée, qui écrit des livres abscons qu'aucun éditeur n'accepte. Et Harriet tombe amoureuse devinez de qui (ou de quoi): non, pas de notre star, ce serait trop banal, mais de son sexe qui lui a permis de connaître enfin l'orgasme!
J'abandonne rarement en cours de lecture: je me suis donc tapé tout çà jusqu'à la fin (encore plus loufoque que le reste): serais-je devenu maso?
