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Critique de ATOS
Un paradoxe.... ? Selon Sainsbury, philosophe britannique : les paradoxes sont des conclusions inacceptables résultant d'arguments apparemment acceptables à partir de prémisses apparemment acceptables. ». A bien y réfléchir, les paradoxes nous entourent, nous submergent. Mais comment les reconnaître?
Voilà donc un manuel de survie nécessaire à notre pensée : ce livre qui n'existe pas.
Un manuel d'entraînement en quelque sorte.
Sur des notions de temps, d'espace, d'infini, de possible, de nombre, paradoxalement vous n'en reviendrez pas.
Comment peut on architecturer une pensée, une vérité, une analyse, une démonstration d'une manière qui paraît infaillible tout en faisant vaciller toute logique jusqu'à qu'il ne reste qu'un champ
de ruine.
Afin de déjouer les grandes manipulations des joueurs de verbe, et ils sont nombreux, il faudrait chaque matin faire un petit exercice de paradoxe.
Nous entretiendrions ainsi notre logique, notre capacité de raisonnement individuel, notre sens de la synthèse de l'analyse et mais également de la critique.
Rassurez vous, bien que bruyante , cette nouvelle salle de sport est assez bien fréquentée : Aristote,Galilée, Einstein, Descartes, Newton, Moore, Mill, le fameux Zénon et bien d'autres sauront faire de notre pensée non pas un muscle mais un véritable outil de maçonnerie cérébrale afin que tous ensemble nous faisions en sorte que cela tienne bien la route.
« Penser et raisonner font deux » disait Georges Braque, alors réfléchissons pour percevoir exactement ce que nous voyons.
Astrid Shriqui Garain
Voilà donc un manuel de survie nécessaire à notre pensée : ce livre qui n'existe pas.
Un manuel d'entraînement en quelque sorte.
Sur des notions de temps, d'espace, d'infini, de possible, de nombre, paradoxalement vous n'en reviendrez pas.
Comment peut on architecturer une pensée, une vérité, une analyse, une démonstration d'une manière qui paraît infaillible tout en faisant vaciller toute logique jusqu'à qu'il ne reste qu'un champ
de ruine.
Afin de déjouer les grandes manipulations des joueurs de verbe, et ils sont nombreux, il faudrait chaque matin faire un petit exercice de paradoxe.
Nous entretiendrions ainsi notre logique, notre capacité de raisonnement individuel, notre sens de la synthèse de l'analyse et mais également de la critique.
Rassurez vous, bien que bruyante , cette nouvelle salle de sport est assez bien fréquentée : Aristote,Galilée, Einstein, Descartes, Newton, Moore, Mill, le fameux Zénon et bien d'autres sauront faire de notre pensée non pas un muscle mais un véritable outil de maçonnerie cérébrale afin que tous ensemble nous faisions en sorte que cela tienne bien la route.
« Penser et raisonner font deux » disait Georges Braque, alors réfléchissons pour percevoir exactement ce que nous voyons.
Astrid Shriqui Garain
