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Critique de Alfaric
Dans ce tome 3 intitulé "La Prison des âmes", 5 années se sont écoulée et c'est dans une ambiance très contes de fées que Tsin Luan et le Baron Fou sont en quête des trésors des dragons pour obtenir celui de Fuzan Long qui bien utiliser permettrait de stopper Ying Long le dragon bleu désormais piégé dans son enveloppe humaine mais toujours en train de manipuler les dirigeants de l'Empire Song... Ils ne savent ni l'autre que leur adversaire n'a plus d'otage, confisqué par la cour des Rois Dragons et amené hors de l'espace et du temps à la Porte de Yanluowang dans l'attente du dénouement !
Pour se préserver de la colère des cieux il a pris Bai Long le dragon blanc en otage à l'aide de la magie, et pour se protéger de la vengeance de Tsin Luan il prend le Baron en otage à l'aide des sicaires du gouvernement. Pour sceller le dragon bleu, celui-ci doit récupérer sa forme céleste, et pour que celui-ci récupère sa forme céleste Tsin Luan doit lui pardonner... Mais est-ce encore possible ???
Un ellipse de plus, une de trop devrais-je dire : la série aurait dû être découpée en 2 parties avec 2 tomes plus historiques et 2 tomes plus fantastiques pour ne pas dire plus fantasy... Dans cette configuration l'équilibre et le rythme aurait sans doute été beaucoup mieux géré. Emmanuel Civiello s'éclate à mettre en scène les différents dragons de ce tome et certaines planches sont magnifiques. Mais côté scénario la fin d' Hélène Herbeau est un peu abrupte, bizarrement ouverte à mon goût en nous laissant orphelin du sort final du Baron Fou sur la destinée duquel on avait pourtant bien insisté !
Pour se préserver de la colère des cieux il a pris Bai Long le dragon blanc en otage à l'aide de la magie, et pour se protéger de la vengeance de Tsin Luan il prend le Baron en otage à l'aide des sicaires du gouvernement. Pour sceller le dragon bleu, celui-ci doit récupérer sa forme céleste, et pour que celui-ci récupère sa forme céleste Tsin Luan doit lui pardonner... Mais est-ce encore possible ???
Un ellipse de plus, une de trop devrais-je dire : la série aurait dû être découpée en 2 parties avec 2 tomes plus historiques et 2 tomes plus fantastiques pour ne pas dire plus fantasy... Dans cette configuration l'équilibre et le rythme aurait sans doute été beaucoup mieux géré. Emmanuel Civiello s'éclate à mettre en scène les différents dragons de ce tome et certaines planches sont magnifiques. Mais côté scénario la fin d' Hélène Herbeau est un peu abrupte, bizarrement ouverte à mon goût en nous laissant orphelin du sort final du Baron Fou sur la destinée duquel on avait pourtant bien insisté !
