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Critique de BazaR
Soyons honnête, j'aime tous les albums de Tintin.
Maintenant j'en aime certains plus que d'autres (comme tous le monde je suppose ; quelle banalité !). Avant de le relire je pensais que l'Étoile mystérieuse était un de mes préférés mais, étonnamment, je l'ai un peu moins apprécié cette fois, un peu seulement.
Mais soyons un peu positif. L'histoire est une des plus originales. Elle s'éloigne des histoires d'organisations criminelles et de pays agressifs pour envisager une fin du monde (avortée mais quand même) puis d'une course pour la recherche d'un astéroïde contenant un métal inconnu. Hergé inspiré par H. G. Wells ? Je me demande. En tout cas, ces éléments me branchent forcément.
Je crois que, si j'ai moins apprécié cette fois, c'est parce que l'opposition n'est pas aussi acharnée que d'habitude. du coup l'auteur ajoute des gags divertissants mais qui « meublent » un peu : Milou qui se cogne, le prophète dingo qui crie à la fin du monde et à la repentance.
J'adore toujours la fin, en revanche. L'effet surprenant du métal inconnu me régale. Et je continue à sentir le frisson de l'enfance quand je vois l'araignée, brrrr !
Je parie que je ressentirai les choses encore différemment à ma prochaine lecture, 😊
Maintenant j'en aime certains plus que d'autres (comme tous le monde je suppose ; quelle banalité !). Avant de le relire je pensais que l'Étoile mystérieuse était un de mes préférés mais, étonnamment, je l'ai un peu moins apprécié cette fois, un peu seulement.
Mais soyons un peu positif. L'histoire est une des plus originales. Elle s'éloigne des histoires d'organisations criminelles et de pays agressifs pour envisager une fin du monde (avortée mais quand même) puis d'une course pour la recherche d'un astéroïde contenant un métal inconnu. Hergé inspiré par H. G. Wells ? Je me demande. En tout cas, ces éléments me branchent forcément.
Je crois que, si j'ai moins apprécié cette fois, c'est parce que l'opposition n'est pas aussi acharnée que d'habitude. du coup l'auteur ajoute des gags divertissants mais qui « meublent » un peu : Milou qui se cogne, le prophète dingo qui crie à la fin du monde et à la repentance.
J'adore toujours la fin, en revanche. L'effet surprenant du métal inconnu me régale. Et je continue à sentir le frisson de l'enfance quand je vois l'araignée, brrrr !
Je parie que je ressentirai les choses encore différemment à ma prochaine lecture, 😊
