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Critique de louneraia
Ce livre m'a tour à tour agacée, intéressée puis re-agacée.
Tout ces livres qui parlent du mystère de la femme, du secret de sa jouissance me donnent envie d'hurler. Pour éviter de jeter le livre violemment par terre je pense au sketch de Marina Rolleman sur les gels douches.
La femme n'existe pas. Pas plus que l'homme : se sont des constructions sociales.
Le plaisir des hommes est tout aussi compliqué que celui des femmes quoi qu'on en dise. Les êtres humains sont complexes, singuliers c'est ce qui les rend aussi intéressants.
Notre éducation, nos cultures, nos familles, nos histoires tant de choses se mèllent ensemble pour troubler ou éclairer notre relation aux plaisirs qu'il me semble vain de vouloir ranger nos expériences dans de jolies petites cases, proprement pliés comme le feraient Clea et Joanna. L'humanité débordent des cases, pas seulement dans ses maladies et ses troubles mais dans ses jouissances aussi. Avoir un pénis ou un clitoris n'est peut-être pas le problème ni la solution.
Tout ces livres qui parlent du mystère de la femme, du secret de sa jouissance me donnent envie d'hurler. Pour éviter de jeter le livre violemment par terre je pense au sketch de Marina Rolleman sur les gels douches.
La femme n'existe pas. Pas plus que l'homme : se sont des constructions sociales.
Le plaisir des hommes est tout aussi compliqué que celui des femmes quoi qu'on en dise. Les êtres humains sont complexes, singuliers c'est ce qui les rend aussi intéressants.
Notre éducation, nos cultures, nos familles, nos histoires tant de choses se mèllent ensemble pour troubler ou éclairer notre relation aux plaisirs qu'il me semble vain de vouloir ranger nos expériences dans de jolies petites cases, proprement pliés comme le feraient Clea et Joanna. L'humanité débordent des cases, pas seulement dans ses maladies et ses troubles mais dans ses jouissances aussi. Avoir un pénis ou un clitoris n'est peut-être pas le problème ni la solution.
