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Critique de bdelhausse
Après les 3 premiers tomes dont les aventures faisaient la part belle à une inspiration très "western", le tome 4 est définitivement ancré dans le présent, dont le post-apocalyptique.
Une phrase de Kurdy fait d'ailleurs référence à ce que leurs grands-pères ont fait, sous-entendu "de la terre".
Le duo d'amis revient vers la réserve indienne où sont supposés se trouver, esclaves, la communauté dont Jeremiah faisait partie. Sur le chemin, ils croisent un étrange magicien, flanqué d'un acolyte encore plus bizarre. Ils rencontreront ce duo démoniaque alors qu'ils aideront d'anciennes connaissances de Jeremiah à s'évader du périmètre de la réserve indienne.
On devine aisément, à la manière qu'aura ce magicien de disparaître subitement, que l'on est en présence d'un "mauvais de cinéma" que l'on reverra tôt ou tard.
Et si je parle de "cinéma", c'est à dessein. La découpe, le dynamisme, l'action, tout cela évoque les meilleurs films de genre. On a un très bon cru, rythmé, dense et intense, qui sert de teaser aux tomes suivants. Et l'on ne peut se départir de l'impression qu'Hermann a trouvé son rythme de croisière pour Jeremiah.
Une phrase de Kurdy fait d'ailleurs référence à ce que leurs grands-pères ont fait, sous-entendu "de la terre".
Le duo d'amis revient vers la réserve indienne où sont supposés se trouver, esclaves, la communauté dont Jeremiah faisait partie. Sur le chemin, ils croisent un étrange magicien, flanqué d'un acolyte encore plus bizarre. Ils rencontreront ce duo démoniaque alors qu'ils aideront d'anciennes connaissances de Jeremiah à s'évader du périmètre de la réserve indienne.
On devine aisément, à la manière qu'aura ce magicien de disparaître subitement, que l'on est en présence d'un "mauvais de cinéma" que l'on reverra tôt ou tard.
Et si je parle de "cinéma", c'est à dessein. La découpe, le dynamisme, l'action, tout cela évoque les meilleurs films de genre. On a un très bon cru, rythmé, dense et intense, qui sert de teaser aux tomes suivants. Et l'on ne peut se départir de l'impression qu'Hermann a trouvé son rythme de croisière pour Jeremiah.
