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Critique de Cyrlight
Teach me more est un josei en six tomes dans lequel Miku décide de devenir la maîtresse d'un homme qui a déjà prêté de l'argent à sa famille, afin d'éponger les dettes colossales que son père continue d'accumuler et d'offrir des soins décents à sa mère malade. Elle est cependant si inexpérimentée que le valet de la demeure doit s'occuper de son éducation.
Waouh ! Que c'est vide et affligeant ! Si ce manga vous attire pour ses scènes charnelles, passez votre chemin, à moins que vous ne fantasmiez sur le léchage d'oreille. Et s'il vous attire pour son intrigue, fuyez encore plus vite. Dans les deux cas, n'importe quel porno saura mieux répondre à vos attentes (oui, même en terme de scénario, c'est dire).
Quant aux personnages, s'ils doivent dévoiler de la profondeur par la suite, elle ne sera certainement pas psychologique. Miku est une godiche ingénue qui est prête à se prostituer, mais qui défaille dès qu'elle voit un homme torse nu, et l'intendant qui la prend en charge est aussi beau que sexuellement compétent (ça tombe bien, hein…).
Et quelle prise en charge ! le Vicomte de Valmont est bien plus professoral dans une seule scène des Liaisons dangereuses que le valet dans tout ce tome. D'un autre côté, avec une héroïne qui a avant tout besoin d'apprendre à ne pas s'évanouir dès qu'un homme la frôle, ça limite le champ des possibles.
Pour ce qui est de ses motivations et de sa famille… Eh bien, je vous ai dévoilé tout ce qu'on en sait. Quelqu'un a dit « prétexte » ? le seul point positif que je peux concéder à ce josei, c'est son graphisme irréprochable. Autant dire que sa note coule de source (comme Miku, qui porte d'ailleurs très bien son nom en français…).
Lien : https://leslecturesdecyrligh..
Waouh ! Que c'est vide et affligeant ! Si ce manga vous attire pour ses scènes charnelles, passez votre chemin, à moins que vous ne fantasmiez sur le léchage d'oreille. Et s'il vous attire pour son intrigue, fuyez encore plus vite. Dans les deux cas, n'importe quel porno saura mieux répondre à vos attentes (oui, même en terme de scénario, c'est dire).
Quant aux personnages, s'ils doivent dévoiler de la profondeur par la suite, elle ne sera certainement pas psychologique. Miku est une godiche ingénue qui est prête à se prostituer, mais qui défaille dès qu'elle voit un homme torse nu, et l'intendant qui la prend en charge est aussi beau que sexuellement compétent (ça tombe bien, hein…).
Et quelle prise en charge ! le Vicomte de Valmont est bien plus professoral dans une seule scène des Liaisons dangereuses que le valet dans tout ce tome. D'un autre côté, avec une héroïne qui a avant tout besoin d'apprendre à ne pas s'évanouir dès qu'un homme la frôle, ça limite le champ des possibles.
Pour ce qui est de ses motivations et de sa famille… Eh bien, je vous ai dévoilé tout ce qu'on en sait. Quelqu'un a dit « prétexte » ? le seul point positif que je peux concéder à ce josei, c'est son graphisme irréprochable. Autant dire que sa note coule de source (comme Miku, qui porte d'ailleurs très bien son nom en français…).
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