Ce
Douce nuit ("Silent night"), selon moi ,appartient à ces livres écrits pour honorer un contrat avec un éditeur. Parce que tout est faiblard. L'argument de Noël n'est pas vraiment exploité, tout à fait anecdotique. L'histoire est fort simple, un peu comme un très très très mauvais téléfilm. le savoir-faire évident de
Mary Higgins Clark lui permet de ne pas en faire une catastrophe et sans doute surnage au-dessus des auteurs nuls.
Mais bon, voilà, il faut bien gagner sa vie. Ou, plus justement, il faut gagner bien sa vie.
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