J'ai lu « le Cellule de verre » un peu par hasard et sans a priori. Bien qu'un un peu dépassé aujourd'hui (écrit dans les années 60) elle peint un tableau noir du système pénitencier américain, mais surtout de la descente aux enfers du personnage principal, Carter. On voit, l'homme de famille et ingénieur, se transformer inévitablement monstre malgré lui au cours de son incarcération, mais surtout pendant sa liberté avec la déconstruction de sa famille. le deuxième moitié du livre a ses longueurs, et par moment j'au eu du mal à sympathiser avec un Carter trop mou.
Commenter  J’apprécie         00