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Critique de Northanger


L'histoire commence comme un roman du XIX° siècle ; les membres d'une famille, réunie pour la veillée de Noël, se racontent des histoires de fantômes. Mais lorsque vient le tour du narrateur, Arthur Kipps, ce dernier se fâche et refuse de dire quoi que ce soit. Cet incident déclenche en lui l'envie de confesser ce qui lui est arrivé des décennies plus tôt afin de se libérer.
Alors clerc de notaire, il est envoyé dans le nord de l'Angleterre pour organiser la succession de la vieille Alice Drablow ; il est témoin de phénomènes étranges, qu'il ne tarde pas à identifier comme étant surnaturels. Malgré tout, il décide de surmonter son appréhension pour mener sa tâche à bien, et passe la nuit seul, dans le manoir de Madame Drablow, au risque de bouleverser sa vie...

J'ai tout de suite accroché à ce récit inquiétant, au charme désuet comme je les aime. L'époque, le thème, l'ambiance m'ont vraiment parlé. le manoir d'Alice Drablow, appelé le Manoir du Marais, est comme il se doit, isolé et accessible seulement à marée basse, en empruntant « La Chaussée des Neufs Vies », ce qui fait monter l'angoisse d'un cran. Bien que l'histoire soit prévisible pour les habitués du genre, on ne peut s'empêcher de partager les inquiétudes du narrateur lorsqu'il est en proie à des manifestations spectrales au milieu de la nuit. Je ne peux donc que le conseiller à ceux qui aiment les histoires de fantômes, davantage pour l'ambiance que pour l'intrigue.
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