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Critique de melissardine
Mon avis se confirme malheureusement avec cet ultime tome : je suis déçue par ce dernier cycle de l'Assassin royal.
Le livre commence pourtant bien avec une première partie pleine de rebondissements - assez appréciables après les longueurs des tomes précédents -. Cependant, on enchaîne ensuite avec une seconde partie que j'ai trouvée particulièrement plombante. On sent en outre depuis le tome 5 que Robin Hobb a voulu également mettre un point final aux deux autres sagas de cet univers - Les Aventuriers de la mer et Les Cités des Anciens -, mais de manière peu convaincante : cela sera soit trop long et assez peu compréhensible pour ceux qui n'ont pas lu ces précédents cycles, soit trop peu effleuré pour les autres.
Pour finir, si ce n'était pas pour le nouveau personnage très attachant et intéressant d'Abeille (et dans une moindre mesure les personnages secondaires de Braise et Persévérance), je crois que je regretterais presque de m'être lancée dans ce dernier cycle qui me laisse un petit goût amer...
Le livre commence pourtant bien avec une première partie pleine de rebondissements - assez appréciables après les longueurs des tomes précédents -. Cependant, on enchaîne ensuite avec une seconde partie que j'ai trouvée particulièrement plombante. On sent en outre depuis le tome 5 que Robin Hobb a voulu également mettre un point final aux deux autres sagas de cet univers - Les Aventuriers de la mer et Les Cités des Anciens -, mais de manière peu convaincante : cela sera soit trop long et assez peu compréhensible pour ceux qui n'ont pas lu ces précédents cycles, soit trop peu effleuré pour les autres.
Pour finir, si ce n'était pas pour le nouveau personnage très attachant et intéressant d'Abeille (et dans une moindre mesure les personnages secondaires de Braise et Persévérance), je crois que je regretterais presque de m'être lancée dans ce dernier cycle qui me laisse un petit goût amer...
