l'humanisme littéraire et philosophique florentin de la seconde moitié du quattrocento trouva en Sandro Filipepi dit Botticeli (1445-1510), son interprète le plus sensible et le plus raffiné. Avec lui, la peinture parvient à rendre visible la beauté idéale dont parlaient les néo platoniciens, en même temps qu'elle se montrait capable d'exprimer les sentiments les plus subtiles