>
Critique de Lespetiteschroniquesdemarie
L'amour, ce n'est pas toujours une question d'âge, ni de physique, n'en déplaise à notre nettoyeur préféré.
Le mangaka Tsukasa Hojo nous entraîne dans trois histoires mouvementées:
• Fin de l'intrigue du tome 15 : Kaori ayant été enlevée, Keiichi et Ryo vont tout mettre en oeuvre pour la sauver!
• Deuxième aventure : alors que le duo City Hunter se recueille sur la tombe de Makimura, Ryô sauve une jeune femme attaquée par le clan de la Nishioki. Il s'agit d'Ayako Serizawa, étudiante en art et veuve du parrain du clan Kichijô. Les membres du clan demandent à Ryô de protéger leur nouvelle cheffe. Kaori et Ryo finissent par accepter en écoutant les motivations d'Ayako. Afin de ne plus rester prisonnière du souvenir de son mari et de panser le vide laissé, elle entend mener un projet artistique. Mais ce dernier est mis à mal par les yakuzas de la Nishioki...
• Troisième histoire : Ryô est la cible d'attaques mystérieuses visant à l'éliminer. Il reçoit alors la visite inattendue de Falcon, plus connu sous le surnom d'Umibôzu (éléphant de mer), qui lui apprend que Miki, une mercenaire, est derrière tout ça.
Un tome 16 très émouvant, très drôle et très rythmé ! Beaucoup de gags très chouettes autour des stratégies de Ryô pour fausser compagnie à Kaori, aux yakuzas et à Umibôzu (coucou le petit chat super affectueux) : Ryô en modèle nu dans l'école d'art m'a bien tout de même fait bien rigoler !
J'ai beaucoup aimé la réflexion sur l'art comme remède permettant de panser les cicatrices du passé.
Le dessins minutueux de la deuxième histoire m'ont vraiment impressionnée tant ils semblent réalistes : les représentations d'Ayako en train de peindre sont superbes tout comme les paysages.
À la fin de ce tome 16, on trouve un test de personnalité pour devenir l'assistante de City Hunter... test qui est très sympa à faire.
Direction le tome 17.
Le mangaka Tsukasa Hojo nous entraîne dans trois histoires mouvementées:
• Fin de l'intrigue du tome 15 : Kaori ayant été enlevée, Keiichi et Ryo vont tout mettre en oeuvre pour la sauver!
• Deuxième aventure : alors que le duo City Hunter se recueille sur la tombe de Makimura, Ryô sauve une jeune femme attaquée par le clan de la Nishioki. Il s'agit d'Ayako Serizawa, étudiante en art et veuve du parrain du clan Kichijô. Les membres du clan demandent à Ryô de protéger leur nouvelle cheffe. Kaori et Ryo finissent par accepter en écoutant les motivations d'Ayako. Afin de ne plus rester prisonnière du souvenir de son mari et de panser le vide laissé, elle entend mener un projet artistique. Mais ce dernier est mis à mal par les yakuzas de la Nishioki...
• Troisième histoire : Ryô est la cible d'attaques mystérieuses visant à l'éliminer. Il reçoit alors la visite inattendue de Falcon, plus connu sous le surnom d'Umibôzu (éléphant de mer), qui lui apprend que Miki, une mercenaire, est derrière tout ça.
Un tome 16 très émouvant, très drôle et très rythmé ! Beaucoup de gags très chouettes autour des stratégies de Ryô pour fausser compagnie à Kaori, aux yakuzas et à Umibôzu (coucou le petit chat super affectueux) : Ryô en modèle nu dans l'école d'art m'a bien tout de même fait bien rigoler !
J'ai beaucoup aimé la réflexion sur l'art comme remède permettant de panser les cicatrices du passé.
Le dessins minutueux de la deuxième histoire m'ont vraiment impressionnée tant ils semblent réalistes : les représentations d'Ayako en train de peindre sont superbes tout comme les paysages.
À la fin de ce tome 16, on trouve un test de personnalité pour devenir l'assistante de City Hunter... test qui est très sympa à faire.
Direction le tome 17.
