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Critique de Lespetiteschroniquesdemarie
L'amour, l'amour, l'amour, dont on parle toujours… ! C'est bon, vous l'avez dans la tête ?!
Ce mangaka de génie, j'ai nommé Tsukasa Hojo, nous régale de trois histoires :
• Fin de l'intrigue du tome 23 : la veille de l'opération qui doit rendre la vue à sa fille, Monsieur Uragami a avoué à cette dernière qu'il allait demander en mariage la femme dont il est amoureux. Mayuko est persuadée qu'il s'agit de Kaori… Attention, rebondissements !
• Kaori est repérée dans la rue par la célèbre designer Eri Kitahara qui n'est d'autre, le hasard faisant bien les choses, qu'une de ses anciennes amies du lycée. Eriko souhaite en effet engager comme mannequins pour son fashion show spécial maillot de bain été 90's Kaori et… Ryo !! Mais depuis quelque temps, Eriko, qui ne vit que pour son boulot, est victime de tentatives de meurtre et d'intimidations régulières (cambriolage, saccages du lieu de travail…). En plus d'être tops models, le duo City Hunter va devoir jouer le rôle de gardes du corps de la charmante designer !
• Miki constate que son cher et tendre Umibozu est très contrarié et odieux. La venue d'une certaine Sonia Field semble en être la cause. Qui est cette femme ? Qu'est-elle venue faire au Japon ?
Quelle rigolade ce tome : les cours de mannequin donnés à Ryo sont trop drôles et le retour de la menace de la ceinture de chasteté spéciale Saeba « arme secrète bloqueur de Mokkori » tombe à propos !
Mention spéciale au pardessus à la Mary Poppins de Ryo : impressionnant de voir tout ce qu'il contient. J'ai particulièrement aimé le tacle lancé à Eriko « C'est ma mode à moi ! ».
En bonus : Ryo Saeba à la loupe !
Direction le tome 25.
Ce mangaka de génie, j'ai nommé Tsukasa Hojo, nous régale de trois histoires :
• Fin de l'intrigue du tome 23 : la veille de l'opération qui doit rendre la vue à sa fille, Monsieur Uragami a avoué à cette dernière qu'il allait demander en mariage la femme dont il est amoureux. Mayuko est persuadée qu'il s'agit de Kaori… Attention, rebondissements !
• Kaori est repérée dans la rue par la célèbre designer Eri Kitahara qui n'est d'autre, le hasard faisant bien les choses, qu'une de ses anciennes amies du lycée. Eriko souhaite en effet engager comme mannequins pour son fashion show spécial maillot de bain été 90's Kaori et… Ryo !! Mais depuis quelque temps, Eriko, qui ne vit que pour son boulot, est victime de tentatives de meurtre et d'intimidations régulières (cambriolage, saccages du lieu de travail…). En plus d'être tops models, le duo City Hunter va devoir jouer le rôle de gardes du corps de la charmante designer !
• Miki constate que son cher et tendre Umibozu est très contrarié et odieux. La venue d'une certaine Sonia Field semble en être la cause. Qui est cette femme ? Qu'est-elle venue faire au Japon ?
Quelle rigolade ce tome : les cours de mannequin donnés à Ryo sont trop drôles et le retour de la menace de la ceinture de chasteté spéciale Saeba « arme secrète bloqueur de Mokkori » tombe à propos !
Mention spéciale au pardessus à la Mary Poppins de Ryo : impressionnant de voir tout ce qu'il contient. J'ai particulièrement aimé le tacle lancé à Eriko « C'est ma mode à moi ! ».
En bonus : Ryo Saeba à la loupe !
Direction le tome 25.
