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Coleen Hoover est définitivement la reine du drama.
On est dans le Young adult, c'est certain. Si j'avais lu cette série il y a 5 ans je pense que j'aurais adoré.
Dans ce livre, on assiste aux débuts de Colleen Hoover. Mais pour ce qui est du drama, du sombre, et du triste, on a l'impression qu'elle est déjà maître en la matière.
On part dans du classique, une relation interdite prof/élève. Ils se rencontrent avant de se rendre compte qu'il est son prof. Rien de très surprenant de ce côté là, les mêmes obstacles que d'habitude, les mêmes disputes. Rien d'extraordinaire.
Là où ça devient vraiment intéressant, c'est le côté dramatique. L'un comme l'autre ont vécus des choses absolument affreuses. Là, on a mal au coeur pour eux, pour ce qu'ils doivent endurer.
Lake est tout ce qu'il y a de plus cliché. Elle n'a rien d'exceptionnel (à part les citrouilles…), que le livre soit raconté de son point de vue rend le roman assez enfantin. C'est ce qui m'a le plus déplu je pense. Will, lui est vraiment PAS ordinaire. Passionné de slam, il joue avec les mots à la perfection. Ils tombent sous le charme l'un de l'autre au premier coup d'oeil. Dans l'ensemble, ils sont vraiment mignon, et même si Lake n'est pas vraiment l'héroïne idéale, je les ai trouvés trop mignons ensemble. Par contre, ça va beaucoup trop vite. Cinquante pages et c'est parti. Pas ce que je préfère, mais ils sont cute quand même.
Pour ce qui est des autres personnages, je trouve que les enfants n'ont pas été assez développés, j'espère franchement que ce sera différent pour la suite. Julia m'a vraiment émue. Au début elle est mise à l'écart, mais dès qu'elle s'implique, je trouve l'histoire plus authentique.
Bon. le Slam. Je ne vais pas mentir, c'est le Slam qui fait le livre. C'est le Slam qui nous a fait aimer Will et c'est le Slam qui nous fait aimer Lake. Les textes que l'on a l'occasion de découvrir sont émouvant, tristes aussi parfois, mais incroyablement beaux. J'ai adoré. (j'en ai accroché dans ma chambre). le slam est la touche en plus, ce qui rend le livre original.
Critique de bookheart
Coleen Hoover est définitivement la reine du drama.
On est dans le Young adult, c'est certain. Si j'avais lu cette série il y a 5 ans je pense que j'aurais adoré.
Dans ce livre, on assiste aux débuts de Colleen Hoover. Mais pour ce qui est du drama, du sombre, et du triste, on a l'impression qu'elle est déjà maître en la matière.
On part dans du classique, une relation interdite prof/élève. Ils se rencontrent avant de se rendre compte qu'il est son prof. Rien de très surprenant de ce côté là, les mêmes obstacles que d'habitude, les mêmes disputes. Rien d'extraordinaire.
Là où ça devient vraiment intéressant, c'est le côté dramatique. L'un comme l'autre ont vécus des choses absolument affreuses. Là, on a mal au coeur pour eux, pour ce qu'ils doivent endurer.
Lake est tout ce qu'il y a de plus cliché. Elle n'a rien d'exceptionnel (à part les citrouilles…), que le livre soit raconté de son point de vue rend le roman assez enfantin. C'est ce qui m'a le plus déplu je pense. Will, lui est vraiment PAS ordinaire. Passionné de slam, il joue avec les mots à la perfection. Ils tombent sous le charme l'un de l'autre au premier coup d'oeil. Dans l'ensemble, ils sont vraiment mignon, et même si Lake n'est pas vraiment l'héroïne idéale, je les ai trouvés trop mignons ensemble. Par contre, ça va beaucoup trop vite. Cinquante pages et c'est parti. Pas ce que je préfère, mais ils sont cute quand même.
Pour ce qui est des autres personnages, je trouve que les enfants n'ont pas été assez développés, j'espère franchement que ce sera différent pour la suite. Julia m'a vraiment émue. Au début elle est mise à l'écart, mais dès qu'elle s'implique, je trouve l'histoire plus authentique.
Bon. le Slam. Je ne vais pas mentir, c'est le Slam qui fait le livre. C'est le Slam qui nous a fait aimer Will et c'est le Slam qui nous fait aimer Lake. Les textes que l'on a l'occasion de découvrir sont émouvant, tristes aussi parfois, mais incroyablement beaux. J'ai adoré. (j'en ai accroché dans ma chambre). le slam est la touche en plus, ce qui rend le livre original.
