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Critique de jovidalens
Quand son papa meurt, LYZ reprend en douce le petit commerce de croque-mort ! Mais elle y apporte sa conception tout en tendresse et …couleurs. Les bourgeois n'apprécient pas. Mais heureusement elle fait la connaissance d'un peintre (raté ?) qui reconnaît l'originalité de son talent. Il va l'héberger, lui trouver une galerie pour exposer ses oeuvres…
BD tout en tendresse et couleurs chaleureuses, avec une petite touche de vert…cadavérique (?). Les dessins donnent une poésie et une profondeur à l'histoire, rehaussées par la palette délicate.
Lyz transporte son monde intérieur et d'adapte à l'extérieur avec son minois triste, ses yeux rêveurs et ses secrets.
Norbert, ébloui et passionné, découvre le jeu des « cadavres exquis » et va se consacrer à cette artiste révolutionnaire avec toute son âme d'enfant.
BD tout en tendresse et couleurs chaleureuses, avec une petite touche de vert…cadavérique (?). Les dessins donnent une poésie et une profondeur à l'histoire, rehaussées par la palette délicate.
Lyz transporte son monde intérieur et d'adapte à l'extérieur avec son minois triste, ses yeux rêveurs et ses secrets.
Norbert, ébloui et passionné, découvre le jeu des « cadavres exquis » et va se consacrer à cette artiste révolutionnaire avec toute son âme d'enfant.
