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Critique de Alfaric


La saga "Dragon Quest" est très codifiée avec ses passages obligés : nous voici donc avec ce tome 7 avec le passage obligé « morts-vivants »...
La Team Aros affronte un dragon bleu nécromancien qui ressuscite tous les monstres du coin pour récupérer le trésor de la flamme sacrée qui a échoué entre les mains du voleur chanceux Bezel aux faux-airs d'Aladin. C'est donc plus sombre et plus violent qu'à l'accoutumée, mais chacun met ses différents de côté pour retrouver l'éternel « un pour tous et tous pour un ! » Enfin presque : Aros est toujours dans sa crise existentielle et le boss intermédiaire essaye de le faire passer du Côté Obscur en jouant sur la raison (on ne fait pas d'omelette sans casser des œufs, donc il faut bien sacrifier des gens pour atteindre ses objectifs car « la fin justifie les moyens », enfin bref le discours nauséabond des élites autoproclamées qui sacrifient les peuples au nom de leurs petits intérêts bien calculés) et sur la passion (retrouver et rejoindre sa soeur jumelle Aniss qu'il a perdu depuis si longtemps et qu'il avait juré de protéger, y compris d'elle-même)… Cela déclenche le droit de quota de flashback qui nous montre comment on a trafiqué les souvenirs d'Aniss pour la sauver de la catatonie dans laquelle elle avait plongé près la catastrophe qu'elle avait involontairement déclenchée, et que ces problèmes de mémoire et d'identité n'y sont sans doute pas étranger... Yui parvient à faire accepter à Aros sa condition de héros afin de devenir le bouclier du monde, mais c'est que survient le tragique cliffhanger de fin ! C'est très classique mais très efficace, donc To Be Continued !
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