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Critique de mjaubrycoin
Orpheline américaine richissime, Kitty Duke se rend en Angleterre pour trouver un mari et sous le nom de Maisie Kane, elle fait la connaissance de la famille Radcliffe, une bande d'aristocrates désargentés et excentriques pour lesquels elle éprouve une fascination morbide malgré leur cruauté et leur absence totale de sens moral.
Maisie fait partager au lecteur ses mésaventures dans l'Angleterre de 1953 qui voit le couronnement de la Reine Elisabeth et Kitty lui raconte son enfance new-yorkaise et plus précisément les évènements qui se sont déroulés en 1941, date à laquelle sa vie a basculé.
Peu à peu on comprendra ce qui a poussé l'héroïne à venir à Radcliffe Hall et quelle mission elle s'est assignée.
J'ai eu beaucoup de mal à parvenir à la fin de ce livre tant les personnages sont antipathiques qu'il s'agisse de Kitty/ Maisie qui se plait à torturer des animaux et n'éprouve pas la moindre compassion pour quiconque, qui se montre impitoyable envers ceux qu'elle estime lui être inférieurs et de son point de vue d'héritière, cela fait vraiment beaucoup de monde !
Quand aux Radcliffe, ils sont plus caricaturaux les uns que les autres et leurs excès décrits avec complaisance, finissent par leur faire perdre toute crédibilité tant ils apparaissent peut ancrés dans l'époque où ils sont censés se dérouler. La présence de personnages historiques lors de la fameuse soirée à Radcliffe Hall où Maisie est "lancée dans le monde " d'une manière vraiment particulière, m'a parue tellement outrée que je me suis demandée ce que recherchait l'auteur en poussant aussi loin la provocation.
Que tout ceci est loin de l'humour anglais que j'apprécie tant !On n'est même pas dans le registre de l'humour noir qui fait délicieusement frissonner mais dans du Brett Eaton Ellis, égaré dans le vert Dorset!
Impossible de recommander ce roman qui a été pour moi une grande déception
Maisie fait partager au lecteur ses mésaventures dans l'Angleterre de 1953 qui voit le couronnement de la Reine Elisabeth et Kitty lui raconte son enfance new-yorkaise et plus précisément les évènements qui se sont déroulés en 1941, date à laquelle sa vie a basculé.
Peu à peu on comprendra ce qui a poussé l'héroïne à venir à Radcliffe Hall et quelle mission elle s'est assignée.
J'ai eu beaucoup de mal à parvenir à la fin de ce livre tant les personnages sont antipathiques qu'il s'agisse de Kitty/ Maisie qui se plait à torturer des animaux et n'éprouve pas la moindre compassion pour quiconque, qui se montre impitoyable envers ceux qu'elle estime lui être inférieurs et de son point de vue d'héritière, cela fait vraiment beaucoup de monde !
Quand aux Radcliffe, ils sont plus caricaturaux les uns que les autres et leurs excès décrits avec complaisance, finissent par leur faire perdre toute crédibilité tant ils apparaissent peut ancrés dans l'époque où ils sont censés se dérouler. La présence de personnages historiques lors de la fameuse soirée à Radcliffe Hall où Maisie est "lancée dans le monde " d'une manière vraiment particulière, m'a parue tellement outrée que je me suis demandée ce que recherchait l'auteur en poussant aussi loin la provocation.
Que tout ceci est loin de l'humour anglais que j'apprécie tant !On n'est même pas dans le registre de l'humour noir qui fait délicieusement frissonner mais dans du Brett Eaton Ellis, égaré dans le vert Dorset!
Impossible de recommander ce roman qui a été pour moi une grande déception
