Après des premiers chapitres quelque peu prévisibles et dans une moindre mesure, fastidieux, le récit s'envole. A la découverte du destin de Laila, de son enfance, de son histoire d'amour avec Tariq, on sourit. Puis le trou noir. Les destins communs des deux femmes se recoupent, se contrecarrent, puis s'emboîtent.
L'auteur permet une immersion totale dans Kaboul et dans ce foyer sombre dans lequel l'innocence des enfants sont les seules lueurs.
Plus l'histoire avance, plus on tente désespérément d'y croire, même si l'espoir d'une vie meilleure pour Laila & Mariam est mince.
Un livre que j'ai dévoré, un auteur que j'ai découvert, un pays qui me fascine toujours plus.
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