Anéantir... le nombre de pages m'a d'abord interrogé sur le contenu et sur le titre, s'il ne s'adressait pas au lecteur, possiblement perdu au fil des pages. En réalité sont alternées avec brio les séquences dramatiques et d'autres plus légères voire carrément drôles. En dépit de nombreux passages étonnamment positifs, l'auteur se reprend vite pour se refugier dans sa tristesse habituelle. Il craint vraiment l'enthousiasme, cela semble ne faire aucun doute. On saisit aussi son intéressante technique pour réaliser un ouvrage d'un tel volume : le ... ; il appartient à chacun de trouver.
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