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Critique de mcd30
Lorsqu'un terminator au coeur de glace, c'est son patron qui le dit, hérite d'un cirque, que peut-il bien se passer ? Sous prétexte d'un feel-good, Magne Hovden nous apporte matière à réflexion sur notre société.
Si pour moi, le cirque est synonyme de magie, de merveilleux et de joie. Dans ce roman le cirque Fandango devient un objet de désir et de convoitise. Tout le monde espère obtenir soit de l'argent, soit conserver son travail.
Lise, jeune femme, exaspérante à première vue, a un petit côté farfelu qui donne à espérer. Gagner de l'argent avec un petit cirque va s'avérer un sacré challenge. le public veut toujours plus de sensationnel, de spectaculaire au mépris de la vie des artistes. Les enfants préfèrent regarder leurs portables.
Børge, le patron, être vil et méprisable espère vendre ce cirque fort peu reluisant à Mogens Arafat Nilsen, pseudo artiste aux idées plutôt nihiliste.
J'ai bien aimé les artistes ainsi que les descriptions du cirque et tout les détails se rapportant à la Norvège sont appréciables et dépaysants.
Trois personnages sont très touchants : Diana, Lucille et Hillmar.
Bien que la fin soit prévisible Lise va trouver moyen d'utiliser les défauts de notre société afin que le cirque Fandango survive.
Un livre qui montre à quel point ce qui était un événement voire une fête a pu perdre de son attrait de nos jours.
C'est un texte joliment écrit, bien traduit à la lecture fluide et agréable avec des passages très amusants.
Merci aux éditions Seuil et à Babelio pour cette lecture divertissante.
Si pour moi, le cirque est synonyme de magie, de merveilleux et de joie. Dans ce roman le cirque Fandango devient un objet de désir et de convoitise. Tout le monde espère obtenir soit de l'argent, soit conserver son travail.
Lise, jeune femme, exaspérante à première vue, a un petit côté farfelu qui donne à espérer. Gagner de l'argent avec un petit cirque va s'avérer un sacré challenge. le public veut toujours plus de sensationnel, de spectaculaire au mépris de la vie des artistes. Les enfants préfèrent regarder leurs portables.
Børge, le patron, être vil et méprisable espère vendre ce cirque fort peu reluisant à Mogens Arafat Nilsen, pseudo artiste aux idées plutôt nihiliste.
J'ai bien aimé les artistes ainsi que les descriptions du cirque et tout les détails se rapportant à la Norvège sont appréciables et dépaysants.
Trois personnages sont très touchants : Diana, Lucille et Hillmar.
Bien que la fin soit prévisible Lise va trouver moyen d'utiliser les défauts de notre société afin que le cirque Fandango survive.
Un livre qui montre à quel point ce qui était un événement voire une fête a pu perdre de son attrait de nos jours.
C'est un texte joliment écrit, bien traduit à la lecture fluide et agréable avec des passages très amusants.
Merci aux éditions Seuil et à Babelio pour cette lecture divertissante.
