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Critique de JeannineOtte


Comment se laisser happer par la ville de Téhéran, depuis 1953, quand Behrouz trouve un bébé en pleurs sous un mûrier et le ramène chez lui. On accompagne alors Aria, jusqu'à la révolution iranienne, vers l'enfance puis la jeunesse, auprès de ses trois figures maternelles, ses souffrances, ses espoirs.
On vit aussi "de l'intérieur" les inégalités sociales, culturelles, les différences religieuses et surtout la chute du Shah, l'arrivée des mollahs, et l'instauration de l'état islamique qui s'appuie sur les plus paumés.
Je me suis trouvée plongée dans ce roman à la fois exotique et familier. Je me suis attachée au personnage de Aria, très courageuse et obstinée, j'ai découvert des bouts de la culture persane.
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