>
Critique de Medulla
Trois petits pingouins philosophent sur Dieu, son omniscience, son omnipotence et... son manque criant d'imagination car bazar de bazar la banquise est quand même froide blanche et glacée puis froide, blanche et glacée.. puis... froide blanche et glacée... donc bon. Dieu qu'on ne voit pas n'a pas l'air lui aussi de bien voir.
Pendant ces débats, il pleut un peu, beaucoup, et même franchement trop, et la colombe, un tantinet rondouillarde avec un caractère bien trempée car elle se fait exploiter par Noé, rassemble les animaux deux par deux pour monter dans l'Arche.
Alors pour la suite il faut rajouter une valise, des mauvais caractères, un coup de foudre, des problèmes de voisinage dans un logement collectif trop étroit, des gâteaux secs (faut bien grignoter) et beaucoup d'humour et d'absurde pour une jolie fable sur ce que l'on croit et ce que l'on aime. Top!
Pendant ces débats, il pleut un peu, beaucoup, et même franchement trop, et la colombe, un tantinet rondouillarde avec un caractère bien trempée car elle se fait exploiter par Noé, rassemble les animaux deux par deux pour monter dans l'Arche.
Alors pour la suite il faut rajouter une valise, des mauvais caractères, un coup de foudre, des problèmes de voisinage dans un logement collectif trop étroit, des gâteaux secs (faut bien grignoter) et beaucoup d'humour et d'absurde pour une jolie fable sur ce que l'on croit et ce que l'on aime. Top!
