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Critique de LoupAlunettes
C'est l'histoire d'un bonhomme de pain d'épice qui ne voulut pas finir en miettes mais cela est-il possible lorsque l'on sent bon le biscuit, que nos petits petons qui crissent dans la forêt sont aussi potelés que des petits pains dorés, que les rondeurs du petit ventre rond est à croquer ? Donner le doigt et les personnages des bois vous mangent le bras !
C'en est trop !
Cric croc fera la chute gourmande du P'tit Biscuit !
Qui dévorera l'autre ?
Cécile Hudrissier s'inspire évidement du célèbre conte du petit bonhomme de pain d'épice et en offre une version malicieuse reprise à son compte.
Certe, le p'tit biscuit s'enfuit à la sorti du four mais la farce est toute différente.
Tandis que dans la version originale, le naïf personnage se joue de tous ceux qui le croise de sa redondante formulette, les défiant de l'attraper et de le manger, ce nouveau bonhomme met justement cette bonhomie au service de ces rencontres, qui en usent et en abusent avec gourmandise.
Qui du coude ou du petit doigt et du ventre partent sous les quenottes avides d'animaux sans scrupules, dont la faim ou l'égoïsme laisse le p'tit biscuit ravagé par cette sortie.
« Trop bon, trop couillon» dirait-on trivialement, le personnage ne laissera pas la Grand-mère lui dévorer la tête et en terminer là son histoire.
La chute est amusante et surprendra les fans du conte et les autres.
Une sorte de pied de nez aux bons sentiments des contes de fée fondés sur une générosité sans bornes et tellement éloignée des leçons de vie d'aujourd'hui.
Avec Didier Jeunesse, les contes sont vraiment un régal !
C'en est trop !
Cric croc fera la chute gourmande du P'tit Biscuit !
Qui dévorera l'autre ?
Cécile Hudrissier s'inspire évidement du célèbre conte du petit bonhomme de pain d'épice et en offre une version malicieuse reprise à son compte.
Certe, le p'tit biscuit s'enfuit à la sorti du four mais la farce est toute différente.
Tandis que dans la version originale, le naïf personnage se joue de tous ceux qui le croise de sa redondante formulette, les défiant de l'attraper et de le manger, ce nouveau bonhomme met justement cette bonhomie au service de ces rencontres, qui en usent et en abusent avec gourmandise.
Qui du coude ou du petit doigt et du ventre partent sous les quenottes avides d'animaux sans scrupules, dont la faim ou l'égoïsme laisse le p'tit biscuit ravagé par cette sortie.
« Trop bon, trop couillon» dirait-on trivialement, le personnage ne laissera pas la Grand-mère lui dévorer la tête et en terminer là son histoire.
La chute est amusante et surprendra les fans du conte et les autres.
Une sorte de pied de nez aux bons sentiments des contes de fée fondés sur une générosité sans bornes et tellement éloignée des leçons de vie d'aujourd'hui.
Avec Didier Jeunesse, les contes sont vraiment un régal !
