Victor Hugo c'est indéniablement un grand homme et un grand écrivain.
A travers ces écrits il se bat pour ces idées, il fait passer des messages, il veut avertir les peuples.
Comme avec
Les Misérables il décrit ici l'injustice, la fermeté des individus, on condamne sans réfléchir.
On commence le roman avec la nouvelle
Bug-Jargal (que j'ai eu beaucoup de mal à finir), une guerre entre les différents peuples habitant sur l'île de Saint-Domingue.
Victor Hugo nous parle clairement de l'esclavage. On va pas se mentir, j'ai pas aimé la façon dont c'est traité ici, même si on parle de
Victor Hugo comme un défenseur des droits civiques je n'ai pas trouvé qu'il défendait majoritairement la cause des esclaves dans cette nouvelle. (Peut-être l'ai-je mal comprise)
Le dernier jour d'un condamné lui condamne la peine de mort, l'auteur prend parti et se bat contre le traitement des condamnés. C'est fort et c'est intense.
Moi, fan des classiques je n'accroche toujours pas à la plume de
Victor Hugo, je ne ressens rien, je n'y arrive pas. J'essaie pourtant, j'aimerais que cela me provoque quelques choses et que je suive la troupe en disant ‘
Victor Hugo, j'en suis fan' mais non, moi je n'y arrive pas, je le lis sans plaisir. Alors qui sait, l'attachement viendra peut-être avec la maturité.