"Si on ne choisit pas toujours sa mort, on peut, au mons, choisir la faàon dont on veut vivre."
"Vivre, c'est prendre des risques."
«- Si quelqu'un se suicide, c'est qu'il veut mourrir...
- C'est qu'il choisir d'en finir avec la vie telle qu'elle est devenue à ce moment-là... Sans penser nécessairement au malheur et à la culpabilité qu'il fera peser sur les autres. Car, pour ceux qui restent, le suicide d'un proche est une immense souffrance. Ils se reprochent ce qu'ils auraient pu faire, pu dire... Ils se reprochent de ne pas avoir compris la gravité de la situation.
Mais ces reproches me semblent à la fois inévitable et vains. Ceux qui se tient considèrent le suicide comme une véritable issue pour eux, plutôt que comme une punition pour les autres...»
«D'abord, en comprenant que la mort fait intégralement partie de la vie. Elle en est certe la fin, mais elle en est surtout le complément nécessaire, r que nous la fais apprécier dans sa brièveté, ses joies, son intensité. Avoir beaucoup connu la mort, c'est ce que permet peut-être aussi de savourer pleinement la vie, de jouir de chaque instant de santé et de bien-être. Ce n'est pas une position théorique, c'edt une attitude suis permet de faire face à sa propre disparition comme à la mort des autres...»