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Critique de Lune
Cris de colère où le nous dérange. J'aurais préféré que n'apparaisse que le je.
Cet appel à être, à oser, à revendiquer sa propre existence, à placer ses rêves au-dessus de tout, malgré tout, contre tout peut s'avérer douteux si la subtilité manque à la lecture.
Cette dernière m'apparaît redondante. le mécanisme de la pensée, son positionnement se comprennent dès les premiers chapitres.
Une désorganisation en résulte, cela éclate et se répète.
Quant à Molière, on ressent le modèle qu'il représente pour l'auteur.
Le grand homme devient son grand homme qu'il nous invite à percevoir dans la liberté que Poquelin s'est permise en Molière.
Francis Huster nous livre l'homme et l'auteur avec le brûlant de l'acteur qui le fréquente au plus profond.
Sentiment mitigé pour ce livre qui interpelle parfois judicieusement sur les travers de notre société contemporaine, agace aussi, s'écarte souvent des possibles, construit peu et sans doute est essentiellement le miroir de l'auteur.
Cet appel à être, à oser, à revendiquer sa propre existence, à placer ses rêves au-dessus de tout, malgré tout, contre tout peut s'avérer douteux si la subtilité manque à la lecture.
Cette dernière m'apparaît redondante. le mécanisme de la pensée, son positionnement se comprennent dès les premiers chapitres.
Une désorganisation en résulte, cela éclate et se répète.
Quant à Molière, on ressent le modèle qu'il représente pour l'auteur.
Le grand homme devient son grand homme qu'il nous invite à percevoir dans la liberté que Poquelin s'est permise en Molière.
Francis Huster nous livre l'homme et l'auteur avec le brûlant de l'acteur qui le fréquente au plus profond.
Sentiment mitigé pour ce livre qui interpelle parfois judicieusement sur les travers de notre société contemporaine, agace aussi, s'écarte souvent des possibles, construit peu et sans doute est essentiellement le miroir de l'auteur.
