L'écriture de
Nancy Huston, précise et néanmoins poétique, fait de
la Virevolte un magnifique "essai" sur la danse, sur le pouvoir qu'elle a lorsqu'elle s'empare du corps.
La Virevolte pourtant se veut être un roman sur la maternité et c'est là que je suis déçue: certains personnages n'ont aucun intérêt tant ils sont sans relief (Derek, Angela, Rachel). Seules Lin, la mère qui danse et Marina, la fille qui souffre, vivent mais la confrontation tant attendue n'aura pas vraiment lieu et la fin laisse une impression d'inachevé. Certains se réjouissent de ce qu'on ait évité le mélo; moi pas.
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