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Critique de Mariloup
Les Carnets de l'Apothicaire est devenue une de mes sagas chouchou de ces dernières années et je prends vraiment mon temps pour découvrir chaque tome, c'est le cas de le dire ! Je n'enchaîne pas les tomes, les espaçant dans le temps pour ne pas avoir cette frustration de ne pouvoir continuer car le tome suivant ne sera pas sorti ! En tout cas, j'ai bien entendu adoré ce sixième tome qui s'est révélé excellent de bout en bout !
Dans ce tome, nous sommes plutôt sur trois petites histoires qui se suivent, assez distinctes même si quelque part, elles ont toute un lien entre elles. Jinshi a un rendez-vous en ville et tient à ne pas être reconnu, Mao Mao a alors pour mission de le transformer pour qu'il passe le plus possible inaperçu parmi la population et à l'accompagner sur le lieu dit ; Mao Mao rentre aussi chez son père et passe du temps au Palais Vert de Gris, la maison close où elle a grandi et où elle prend soin d'une ancienne courtisane, grièvement malade, atteinte de la syphilis ; Mao Mao travaille également sur la résolution d'une enquête qui dure depuis un an, sur des incendies, des vols et une mort déguisée. Sa route va alors la mener à une célébration et à une personne importante qu'on cherche à éliminer : Jinshi, qu'elle sauve in extremis !
Encore une fois, c'est vraiment passionnant de découvrir l'époque, la cour extérieur (là où vit l'Empereur et son harem), et la cour intérieur (là où résident les fonctionnaires et les soldats), les inégalités sociales et de sexe, sur les concubines, sur les courtisanes, sur la place de la femme en général... A chaque fois, j'apprends plein de petites choses et c'est très intéressant.
Deux personnages sont bien mis en évidence : une mystérieuse jeune femme du nom de Suilei que croise souvent Mao Mao et d'un homme reconnaissable à son monocle, un fonctionnaire du nom de Lacan qui n'inspire pas confiance, qui inquiète Jinshi et que Mao Mao cherche à tout prix à éviter. Quelques pistes nous sont données sur sa véritable identité et sur pourquoi il s'intéresse autant à la jeune fille. Ont-ils un lien de parenté ?!
J'adore la relation de Mao Mao et Jinshi, son évolution se fait pas à pas, leurs interactions sont exquises. C'est très jouissif et drôle de les suivre et il y a une petite tension entre eux à chaque fois !
Graphiquement, c'est CANON, délicieux ! le trait est très noir, avec un soucis du détail, un caractère des plus exquis, des modes chibis pour un peu plus de légèreté et d'humour... Incroyable !
En bref, le coup de coeur est toujours là ! J'ai adoré suivre les trois petites histoires, retrouver Mao Mao et Jinshi, en apprendre toujours plus sur cet univers et le graphisme est toujours une tuerie visuelle ! Un régal ! Et petite réflexion : comme nous avons deux mangas, une saga de romans, un animé, j'aimerais désormais avoir un drama, une série en live action car il y a matière à en faire quelque chose d'exceptionnel !
Dans ce tome, nous sommes plutôt sur trois petites histoires qui se suivent, assez distinctes même si quelque part, elles ont toute un lien entre elles. Jinshi a un rendez-vous en ville et tient à ne pas être reconnu, Mao Mao a alors pour mission de le transformer pour qu'il passe le plus possible inaperçu parmi la population et à l'accompagner sur le lieu dit ; Mao Mao rentre aussi chez son père et passe du temps au Palais Vert de Gris, la maison close où elle a grandi et où elle prend soin d'une ancienne courtisane, grièvement malade, atteinte de la syphilis ; Mao Mao travaille également sur la résolution d'une enquête qui dure depuis un an, sur des incendies, des vols et une mort déguisée. Sa route va alors la mener à une célébration et à une personne importante qu'on cherche à éliminer : Jinshi, qu'elle sauve in extremis !
Encore une fois, c'est vraiment passionnant de découvrir l'époque, la cour extérieur (là où vit l'Empereur et son harem), et la cour intérieur (là où résident les fonctionnaires et les soldats), les inégalités sociales et de sexe, sur les concubines, sur les courtisanes, sur la place de la femme en général... A chaque fois, j'apprends plein de petites choses et c'est très intéressant.
Deux personnages sont bien mis en évidence : une mystérieuse jeune femme du nom de Suilei que croise souvent Mao Mao et d'un homme reconnaissable à son monocle, un fonctionnaire du nom de Lacan qui n'inspire pas confiance, qui inquiète Jinshi et que Mao Mao cherche à tout prix à éviter. Quelques pistes nous sont données sur sa véritable identité et sur pourquoi il s'intéresse autant à la jeune fille. Ont-ils un lien de parenté ?!
J'adore la relation de Mao Mao et Jinshi, son évolution se fait pas à pas, leurs interactions sont exquises. C'est très jouissif et drôle de les suivre et il y a une petite tension entre eux à chaque fois !
Graphiquement, c'est CANON, délicieux ! le trait est très noir, avec un soucis du détail, un caractère des plus exquis, des modes chibis pour un peu plus de légèreté et d'humour... Incroyable !
En bref, le coup de coeur est toujours là ! J'ai adoré suivre les trois petites histoires, retrouver Mao Mao et Jinshi, en apprendre toujours plus sur cet univers et le graphisme est toujours une tuerie visuelle ! Un régal ! Et petite réflexion : comme nous avons deux mangas, une saga de romans, un animé, j'aimerais désormais avoir un drama, une série en live action car il y a matière à en faire quelque chose d'exceptionnel !
