En Italie au moment du tsunami et de la catastrophe de Fukushima, l'auteur s'inquiète pour les siens, pour les promesses qu'elle a faites. Pour les cerisiers qu'elle craint de ne plus revoir.
Mais obstinément, les cerisiers refleurissent, indifférents aux tourments humains. Têtus les humains font des promesses, comme s'ils devaient vivre éternellement, comme si les saisons qui passent n'ont pas d'influence sur eux. Comme si nous étions immortels. de plus en plus conscients cependant de leur éphémère passage. Un étrange paradoxe, troublant, qui tire de l'auteur une très belle réflexion sur nos vies. Surtout après une catastrophe de cette ampleur.
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