AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Love is Power, ou quelque chose comme ça (9)

The engine of Nairobi is fired by cash-crop farming, oiled by tourism, and steered by NGO money. Everywhere you turn in the city you find NGO people, camouflaged by straw hats and safari boots and the skin color of the tourist, white. In the supermarkets (Indian-run), the swanky restaurants (white Kenyan–run), the bus parks, souvenir bazaars, immigration offices (black Kenyan–run), luxurious hotels and safari lodges (British-run), AIDS patients’ wards and spoken-word poetry slams (American-funded), and, in small sightseeing groups, in Kibera, the largest zoo in Africa.
Commenter  J’apprécie          110
Two men in a dead car in a rainstorm in a sleeping town, chatting long into the night, until we grew drowsy from the sound of our voices, until I climbed into the backseat and curled up in sleep, and woke up the next morning to find a bright new sun staring at me through the rain-washed windshield, and Babasegun gone.
TROPHY
Commenter  J’apprécie          110
L’amour, c’est que tu me rends heureux jusqu’au moment où plus du tout
Commenter  J’apprécie          70
Tout le monde a sa vie à vivre, dit Maa Bille doucement. Je ne demande à personne de venir s’occuper de moi. Je ne demande à aucun d’entre vous de me donner à manger. Tout ce que je demande, c’est que tu m’accompagnes à l’hôpital demain pour mon opération.
Commenter  J’apprécie          30
Un jour tu comprendras que les seules choses importantes dans la vie sont nos souvenirs. Alors laisse moi tranquille avec les miens.
Commenter  J’apprécie          20
Elle se creusait si fort les méninges pour trouver la bonne réponse qu'elle commençait à en avoir le tournis. Mais il n'y avait pas de bonne réponse, il n'y avait que la vérité. Elle avait baissé la garde. Elle s'était laissé distraire par ce moment d'amour avec lui, illusionné par ce mirage de normalité. Elle s'était laissé aller à perdre de vue cette apparition, cette chose en noir et vert militaire qui prenait le pas dès qu'il revêtait son uniforme -et plastronnait comme ça de long en large, ivre de pouvoir.
"Pardon Eghe." Ella baissa la tête. "J'ai cru que tu voulais porter autre chemise...
Eghomamien Adrawus expira un souffle au woosh si retentissant qu'il alla se fracasser contre les nerfs d'Estella comme un appel d'air aum oment d'une collision évitée de justesse. "C'est pourquoi même tu attends ici maintenant ? dit-il . Ou bien tu ne vas pas venir pour coudre ça ?" Il la regarda se précipiter vers la commode et s'affairer autour du meuble, cherchant frénétiquement son nécessaire de couture. Quand elle s'approcha de lui, l'aiguille à la main, il relâcha son poing serré et lui tendit le bouton." Fais vite ooo. Patrouille mobile c'est en train de venir déjà."
Elle tomba à genoux. Comme elle levait le bras pour positionner le bouton, le nœud de son pagne se défit et la pièce de tissu tomba au sol. Nue, elle se mit à coudre, et ses doigts remuaient comme les pattes d'un insecte.
Commenter  J’apprécie          10
Sa tête, son cou, ses bras, ses pieds, tout en elle semblait avoir été modelé pour le subjuguer. Comme si elle avait été façonnée pour exister dans un monde plus parfait que le sien.
Commenter  J’apprécie          00
Le coup arriva comme sorti de la nuit.
Commenter  J’apprécie          00
Alaba, sa troisième enfant, vivait dans la même ville qu’elle, Poteko, à quelques kilomètres de la maison maternelle. Elle avait épousé un Trinidadien à voix de tuba et au teint de houmous, Amos Stennnet, technicien chez Shell. Il passait plus de temps sur les plate-formes off-shore des gisements pétroliers de Bongo qu’avec sa famille. Chaque fois qu’il revenait à terre […] il rattrapait le temps perdu loin des siens en s’appliquant à féconder sa femme.
Commenter  J’apprécie          00



    Lecteurs (62) Voir plus




    {* *}