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Critique de Adishatz
Ce roman bourré de clichés ne m'a vraiment pas transportée. L'analyse sociale y est simplette, les personnages manichéens. On croirait même voir une publicité satirique dans cette succession de stéréotypes: l'ancienne surfeuse babacool, le patron de bar macho, la copine ringarde, l'assureur cupide, le présentateur télé narcissique, l'agriculteur suicidé.
Les indices inutilement approximatifs agacent : nous sommes sur une plage, il y a un camping, des pins et des vagues, une rue principale bordée d'échoppes de surfs, la station rivale est Lacanau (Sommes nous, suspense, à Biscarosse ou dans les Landes ???)
On s'ennuie ferme et 2 aspects m'ont particulièrement gênée:
D'une part, l'auteur utilise finalement les outils racoleurs qu'il dénonce : compte à rebours, candidats fourbes, recherche du spectaculaire, on se croirait dans Koh Lanta dès la deuxième partie du roman.
D'autre part, l'univers ( une plage, des surfeurs, une ancienne sportive addicte, un jeune en quête de sensations, un jeu dangereux...) est fortement inspiré du roman "respire" de l'australien Tim Winton, qui ne souffre pas la comparaison.
Les indices inutilement approximatifs agacent : nous sommes sur une plage, il y a un camping, des pins et des vagues, une rue principale bordée d'échoppes de surfs, la station rivale est Lacanau (Sommes nous, suspense, à Biscarosse ou dans les Landes ???)
On s'ennuie ferme et 2 aspects m'ont particulièrement gênée:
D'une part, l'auteur utilise finalement les outils racoleurs qu'il dénonce : compte à rebours, candidats fourbes, recherche du spectaculaire, on se croirait dans Koh Lanta dès la deuxième partie du roman.
D'autre part, l'univers ( une plage, des surfeurs, une ancienne sportive addicte, un jeune en quête de sensations, un jeu dangereux...) est fortement inspiré du roman "respire" de l'australien Tim Winton, qui ne souffre pas la comparaison.
