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Critique de mireille
« Ce que savait la nuit », de Arnaldur INDRIDASON, paru en 2019, est mon 9e livre du Challenge ABC 2021/22.
C'est le 7ème roman que je lis de cet auteur et j'en espérais autant de frisson et de suspens qu'avec les 6 précédents.
Raté. Je me suis bien ennuyée. J'ai pourtant persévéré jusqu'à la fin, car je préfère finir un livre commencé, mais la lecture fut laborieuse et souvent interrompue par une incontrôlable envie de dormir. En plus, je faisais un résumé de chaque (petit) chapitre pour ne pas me perdre dans le nombre des personnages. Mais j'ai cessé au 53ème (sur 60), j'avais trop hâte d'en finir.
Aucun suspens, que des faits à partir de la disparition d'un jeune homme, Sigurvin, 30 ans auparavant et de la découverte de son corps congelé et bien conservé, à la faveur de la fonte d'un glacier. Konrad, policier à la retraite, reprend l'enquête, sous le couvert de son ancienne supérieure, Marta. Petit à petit, il va retrouver certains protagonistes de l'affaire et d'une autre concernant la mort d'un autre jeune homme, Villi, quelques années plus tard, qui avait été témoin sans le savoir du premier drame. Pour Konrad, Villi a été assassiné et son meurtrier pourrait être le responsable de la disparition de Sigurvin, alors que l'associé de ce dernier avait été suspecté, arrêté, relâché faute de preuves, et de nouveau arrêté à la découverte du corps. Konrad est convaincu de son innocence que le suspect a toujours proclamée, surtout qu'il est atteint d'un cancer en phase terminale et qu'il décède rapidement.
L'histoire en elle-même est intéressante, ainsi que la manière dont l'enquête est menée, mais, pour moi, le récit est trop linéaire sans vrai rebondissement. Je n'ai jamais pu m'en faire une « représentation » des personnages ou imaginer une adaptation cinématographique, ce que j'aime faire pour rendre plus vivante, voire plus réelle, l'histoire.
C'est le 7ème roman que je lis de cet auteur et j'en espérais autant de frisson et de suspens qu'avec les 6 précédents.
Raté. Je me suis bien ennuyée. J'ai pourtant persévéré jusqu'à la fin, car je préfère finir un livre commencé, mais la lecture fut laborieuse et souvent interrompue par une incontrôlable envie de dormir. En plus, je faisais un résumé de chaque (petit) chapitre pour ne pas me perdre dans le nombre des personnages. Mais j'ai cessé au 53ème (sur 60), j'avais trop hâte d'en finir.
Aucun suspens, que des faits à partir de la disparition d'un jeune homme, Sigurvin, 30 ans auparavant et de la découverte de son corps congelé et bien conservé, à la faveur de la fonte d'un glacier. Konrad, policier à la retraite, reprend l'enquête, sous le couvert de son ancienne supérieure, Marta. Petit à petit, il va retrouver certains protagonistes de l'affaire et d'une autre concernant la mort d'un autre jeune homme, Villi, quelques années plus tard, qui avait été témoin sans le savoir du premier drame. Pour Konrad, Villi a été assassiné et son meurtrier pourrait être le responsable de la disparition de Sigurvin, alors que l'associé de ce dernier avait été suspecté, arrêté, relâché faute de preuves, et de nouveau arrêté à la découverte du corps. Konrad est convaincu de son innocence que le suspect a toujours proclamée, surtout qu'il est atteint d'un cancer en phase terminale et qu'il décède rapidement.
L'histoire en elle-même est intéressante, ainsi que la manière dont l'enquête est menée, mais, pour moi, le récit est trop linéaire sans vrai rebondissement. Je n'ai jamais pu m'en faire une « représentation » des personnages ou imaginer une adaptation cinématographique, ce que j'aime faire pour rendre plus vivante, voire plus réelle, l'histoire.
