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Critique de Celkana
Arnaldur Indridason est un amoureux de son Islande et ça se sent! Il nous emmène cette fois dans les années 44/45 et un pan de l'histoire du pays est à nouveau exploré, au travers d'un drame familial et de la découverte contemporaine d'un squelette sur un chantier.
Et en parallèle, on vit avec Erlendur son propre drame personnel avec sa fille Eva Lind dans une très mauvaise posture.
C'est sensible, émouvant, toujours richement documenté et raconté. Je suis réellement fan de cet auteur qui, au-delà de l'aspect policier de ses romans, arrive à apporter du social, des personnages fouillées et attachants, bon hormis Sigurdur Oli qui commence à m'agacer, et nous raconter un pan de la vie en Islande très intéressant.
J'ai hâte d'ouvrir le prochain.
Et en parallèle, on vit avec Erlendur son propre drame personnel avec sa fille Eva Lind dans une très mauvaise posture.
C'est sensible, émouvant, toujours richement documenté et raconté. Je suis réellement fan de cet auteur qui, au-delà de l'aspect policier de ses romans, arrive à apporter du social, des personnages fouillées et attachants, bon hormis Sigurdur Oli qui commence à m'agacer, et nous raconter un pan de la vie en Islande très intéressant.
J'ai hâte d'ouvrir le prochain.
