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Critique de Amindara


Et me voilà au sixième tome de cette série.

Hatchepsout est maintenant pharaon, elle a été intronisée, vêtue des attributs du pharaon masculin. Et plus que jamais, elle affirme sa volonté de relations pacifiques avec les pays voisins, des relations basées sur le commerce. Et justement, il y a un nouveau venu au palais, un nouveau qui maitrise parfaitement le sujet.

Autant j'admirais Hatchepsout dans les tomes précédents, autant là c'est moins le cas. La reine brillait par son intelligence jusqu'à présent, ainsi que par sa ruse et sa capacité à s'entourer de personnes qui semblent fiables. Mais l'arrivée du petit nouveau semble lui avoir retourne le cerveau. Certes, il est compétent dans son domaine. Mais il ne semble pas très clair dans ses intentions. Dès le départ j'ai senti qu'il avait quelque chose de louche et ça s'est confirmé lorsqu'il a commencé à vouloir dresser la reine contre Senmout (et il y a réussi). Je n'aime pas trop l'influence qu'il a sur la reine.

Et puis, dans ce tome-ci, Hatchepsout semble très préoccupée par l'image que les gens peuvent avoir d'elle. Ainsi, elle se vexe lorsque Senmout lui montre une statue d'elle qu'il a volontairement représentée en femme, pour mettre en avant sa gentillesse, sa compassion et sa volonté de paix. La jeune femme ne pense qu'à une chose, être représentée comme un homme, sans se rendre compte que les valeurs montrées par Senmout sont aussi importantes.

Espérons qu'elle évoluera et comprendra qu'elle semble se diriger vers une mauvaise voie...
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