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Critique de lechristophe


Lorsque l'on ouvre un album sur les elfes bleus on a le plus souvent droit soit à une histoire avec de l'action et Athé'non (tomes 11, 16 et 26), soit une enquête policière et l'héroïne est Lanawyn (tomes 1, 6 et 21). Et c'est cette dernière qui est la protagoniste principale de ce trente-et-unième volume.

Après le raz-de-marée mondial qui a détruit une très grande partie des villes côtières des Terres d'Arran (tome 23), les elfes forment une race de plus en plus détestée par les autres. Des elfes bleus il ne reste plus que quelques milliers de survivants qui essaient de rebâtir une nouvelle capitale, Ennlya. Or, dans la forêt toute proche, les cadavres de bûcherons ont été découverts décapités et mis en scène afin d'effrayer la population. Lanawyn est donc envoyée enquêter du côté de la cité voisine peuplée d'humains. Eux-mêmes étant victimes des mêmes meurtres rituels, elfes bleus et humains vont devoir s'unir, malgré leur haine, pour affronter ce nouveau danger.

On dirait bien que Jean-Luc Istin nous a sorti un épisode bien pépère, bien dispensable. Une enquête banale avec des indices qui sautent immédiatement aux yeux et des fausses piste vite éventées mais non expliquées par la suite. Ensuite, le lecteur pas trop bête n'avait plus qu'à choisir entre deux éventuels coupables .

Ce que je ne comprends pas c'est pourquoi intituler cet album du nom de la jeune apprentie de Lanawyn qui ne joue qu'un rôle secondaire ?
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