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Critique de Pris
Fin de la saga des Loups de Walburg.
Le dernier maître Loup se révèle dans cette histoire qui fait écho au tome 4 et la prolonge d'un autre point de vue, celui du Tanneur Morgan, déjà présent dans les tomes précédents mais alors pas vraiment un personnage de premier plan du village de Heissekelle. Il va finaliser l'équipe en quelque sorte et lui donner la possibilité de sauver les leurs et d'éliminer définitivement l'évêque Markus qui fait son grand retour de méchant.
Dans ce livre, Ghislain J. George réécrit l'Europe au XIV° siècle et sort l'artillerie lourde cette fois puisque même l'empereur Charles IV fait son apparition... accompagné du Prince Noir entre deux chevauchées sanglantes à travers la France. On a donc droit à une petite histoire de la Géopolitique du XIV° siècle pour les Nuls, ce qui n'est pas désagréable du tout.
Enfin, l'auteur fait une place aux questions qui nous interpellent aujourd'hui sur la diversité et la préservation des espèces sauvages : dans cette saga, que gagnent les loups à s'associer à ces humains marginaux? l'espoir de préserver leurs terrains de chasse et leur espèce probablement, mais aussi le risque d'être éliminés dans les pays frontaliers et ennemis du saint Empire.
J'ai beaucoup aimé cette pentalogie. Je la vois se terminer avec regret mais je suis aussi soulagée que l'auteur n'ait pas écrit le livre de trop.
Le dernier maître Loup se révèle dans cette histoire qui fait écho au tome 4 et la prolonge d'un autre point de vue, celui du Tanneur Morgan, déjà présent dans les tomes précédents mais alors pas vraiment un personnage de premier plan du village de Heissekelle. Il va finaliser l'équipe en quelque sorte et lui donner la possibilité de sauver les leurs et d'éliminer définitivement l'évêque Markus qui fait son grand retour de méchant.
Dans ce livre, Ghislain J. George réécrit l'Europe au XIV° siècle et sort l'artillerie lourde cette fois puisque même l'empereur Charles IV fait son apparition... accompagné du Prince Noir entre deux chevauchées sanglantes à travers la France. On a donc droit à une petite histoire de la Géopolitique du XIV° siècle pour les Nuls, ce qui n'est pas désagréable du tout.
Enfin, l'auteur fait une place aux questions qui nous interpellent aujourd'hui sur la diversité et la préservation des espèces sauvages : dans cette saga, que gagnent les loups à s'associer à ces humains marginaux? l'espoir de préserver leurs terrains de chasse et leur espèce probablement, mais aussi le risque d'être éliminés dans les pays frontaliers et ennemis du saint Empire.
J'ai beaucoup aimé cette pentalogie. Je la vois se terminer avec regret mais je suis aussi soulagée que l'auteur n'ait pas écrit le livre de trop.
