« Nous marchons dans les pas d’Hugo Laruelle artiste peintre, depuis son atelier, quittant les bords de la maison verte pour les rivages de La Piscine – les détours seront nombreux/ombreux/nécessaires avant de quitter les eaux du lac aux îles enchantées après la promenade-transformation (métempsychose). » (p. 11)
.« Il faut encaisser parfois, apprendre, voire, accepter les étoiles dispersées sur la peau, celles qui épousent les plis, qui révèlent les vergetures, qui magnifient les rides et les cicatrices pour une carte, inhabituelle et si humaine, tendre paradoxalement. Il faut accepter la peau si fine qu’elle en devient vélin. » (p. 16)