Tout avait pourtant bien commencé : novembre 1944, sur une île perdue du nord de la Norvège Ingrid recueille un naufragé. Il s'avère peu à peu qu'il s'agit d'un prisonnier russe rescapé d'un navire de guerre allemand bombardé par les Anglais. Elle le sauve, ils s'aiment, malgré les difficultés de communication. Et puis le livre s'enlise. Il s'éternise sur les gestes quotidiens d'Ingrid, l'ennui me prend, je m'accroche et je laisse tomber à la page 154. C'est rare, cela arrive parfois, étonnamment le plus souvent avec des récits écrits au présent. Je m'en veux de cet échec avec ce premier contact avec la littérature norvégienne qui fait donc un flop !
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