Dans ce roman, l'inspecteur higgins doit sauver la réputation du superintendant Marlow, son collègue et ami de Scotland Yard.
Le crime du
sphinx n'a rien avoir avec le personnage emblématique égyptien, cher pourtant au coeur de
Christian Jacq, mais comme le suggère l'image de couverture d'un revolver suisse.
Il s'agit donc d'un meurtre, d'une bavure de scotland yard et d'une grande entreprise de sûreté nationale.
Pour ma part, j'ai été déçu par ce tome 18 Des enquêtes de l'inspecteur higgins. Déjà parce qu'au bout du 3eme chapitre, j'avais trouvé qui était le meurtrier et ensuite, j'ai trouvé beaucoup de redondances d'un chapitre à un autre.
Celui ci est facile à lire mais pour ma part et loin d'être son meilleur.
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