AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de oran



de la maison jaune d'Arles, (qui a bien changé en plus d'un siècle, mais qu'on peut encore bien reconnaître ) en passant par Saint- Rémy, pour finir à Auvers-sur-Oise, nous suivons, au quotidien, les dernières années de la vie de Vincent, un être humble, pathétique, illuminé par le soleil de la Camargue, captivé, chaviré par le bleu du ciel provençal , passionné, obsédé par le besoin de peindre sans relâche, prolifique à en perdre la raison, voulant partagé cette beauté avec son ami Paul, tourmenté d'être à la charge de son frère Théo . Un homme raillé, incompris, malheureux, inquiet, La plume empathique de Marianne Jaeglé qui raconte ces deux ans, permet de mieux comprendre les tourments poignants de van Gogh et surtout de croire à une autre hypothèse que la version officielle, celle du suicide.
Je retrouve dans ces pages l'atmosphère des lieux évoqués que je connais bien s'agissant d'Arles et de Saint-Rémy, une invitation à mettre mes pas dans ceux de Vincent en faisant un détour par le musée Angladon-Dubrujeaud à Avignon, qui abrite le seul tableau de van Gogh en Provence – Wagons de chemin de fer – 1888- dans notre région
Commenter  J’apprécie          391



Ont apprécié cette critique (37)voir plus




{* *}