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Critique de Jcequejelis
Chaque page de ce livre est un champ fraîchement labouré.
Au bord de chacune d'elle, on s'attend à voir les lettres s'envoler comme dans les dessins de Follon.
Dès la première ligne lue, on relève un défit en se lançant dans 1820 aventures.
Chaque ver, comme une comète dans l'espace, laisse une longue traînée, dans nos pensées.
Il faut avoir méditer et laissé s'éteindre l'écho d'une seule « pensée imaginative » avant de passer à la suivante.
Comme l'éclair devance le coup de tonnerre de quelques secondes la pensée imaginative est suivie d'une explosion de réflexions.
Cette explosion de réflexions éclaire la pensée suivante d'une lumière noire qui induit en erreur.
Chaque phrase plie votre pensée pour la faire ramener sur elle-même, et couper toutes vos certitudes.
Chaque ver peut changer de pages et de place, et peut-être le font-ils, le livre refermé et aucun n'est attaché à sa place.
Chacune de ces 1820 méditations, tel un cierge magique, en projette autant, autour d'elle, remplissant tout un espace, de pensées.
Ces 1820 lignes forment une armée de mots rangés en ordre de bataille prêts à attaquer l'entendement.
Au bord de chacune d'elle, on s'attend à voir les lettres s'envoler comme dans les dessins de Follon.
Dès la première ligne lue, on relève un défit en se lançant dans 1820 aventures.
Chaque ver, comme une comète dans l'espace, laisse une longue traînée, dans nos pensées.
Il faut avoir méditer et laissé s'éteindre l'écho d'une seule « pensée imaginative » avant de passer à la suivante.
Comme l'éclair devance le coup de tonnerre de quelques secondes la pensée imaginative est suivie d'une explosion de réflexions.
Cette explosion de réflexions éclaire la pensée suivante d'une lumière noire qui induit en erreur.
Chaque phrase plie votre pensée pour la faire ramener sur elle-même, et couper toutes vos certitudes.
Chaque ver peut changer de pages et de place, et peut-être le font-ils, le livre refermé et aucun n'est attaché à sa place.
Chacune de ces 1820 méditations, tel un cierge magique, en projette autant, autour d'elle, remplissant tout un espace, de pensées.
Ces 1820 lignes forment une armée de mots rangés en ordre de bataille prêts à attaquer l'entendement.
