Amours à l'université, tome 2 : Tourmente intérieure

La confiance doit se mériter. On ne la donne pas comme ça.

La boisson est généralement le symptôme d’un plus grand problème.

Elle savait qu’il avait le don de lire dans les gens comme dans un livre, mais il la regardait parfois comme si elle était un livre écrit dans une langue étrangère.

Il préférait avoir une seule copine plutôt que papillonner. Pourtant ses relations ne duraient jamais longtemps. Tôt ou tard, une fille devenait trop proche et voulait en savoir plus à son sujet, sur lui, sur sa famille, son passé... il eut un petit frisson. Incapable de prendre le risque de laisser qui que ce soit s’attacher à lui, il trouvait toujours une raison pour rompre.

Il savait bien qu’il ne devait pas se laisser abattre. Le petit ami de Sara ne représentait qu’un obstacle parmi tous ceux qui se dressaient entre eux. Il était toujours possible de surmonter un obstacle.

Un bon entraîneur doit pouvoir non seulement offrir des conseils, mais aussi savoir en recevoir.

Si on a déjà du mal alors qu’on se voit tous les jours, il est clair qu’on ne peut pas avoir une relation à distance.

Les filles adorent les cicatrices. Il y a toujours une bonne anecdote derrière une cicatrice.

Il n’y a rien de mal à coucher que pour plaisir, pour les hommes comme pour les femmes.

— Donc, vous pouvez avoir autant de femmes que vous voulez, mais je suis limitée à cinq hommes ?
— Ouais, dit Austin en souriant.
— Pourquoi ?
— Parce que le sexe a plus de signification plus pour les femmes. Ce n’est pas seulement une question de plaisir.